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PLASTIQUEPOLLUTIONSTECHNOLOGIES

Plastique et avancées technologiques

Plastique et avancées technologiques. De 1930 à 1940, les grands laboratoires de recherche allemands et américains développent les futurs grands thermoplastiques d’aujourd’hui ; Polychlorure de vinyle, Polystyrène, Polyéthylène, Polyamide, Polyméthacrylate de méthyle (plexiglas),…

Ces développements s’accompagneront de nouvelles techniques spécifiques de transformation qui profiteront aussi à l’artisanat.

Entre 1880 et 1913, le celluloïd s’ajoutera au buis et à la corne pour la fabrication des boîtes à ouvrages, des boutons et des peignes.

Grâce à cela le nombre de façonniers passera de 120 à 310.

Les avancées technologiques se poursuivront avec l’association de plusieurs matériaux comme les composites.

Une première réflexion

La production de plastique fut tellement importante qu’en 1980 les recherches vont commencer à s’intéresser au recyclage.

Les premiers symboles pour les répertorier vont alors apparaître.

De nos jours les polymères sont devenus des produits de haute technologie.

Ils servent dans des domaines comme la santé, le bâtiment, le sport, l’automobile, l’aérospatiale, l’ emballage,…

Plastique et avancées technologiques sont tendances et se nomment maintenant plastiques Bio – plastiques.

Ce bioplastique provient d’une synthétise à partir de la biomasse ou à partir du pétrole. Mais il reste une résine plastique à part entière.

Par contre, les nouveaux plastiques ne remettent pas en cause le modèle du ‘jetable’ de notre société.

Ce plastique « bioplastique » n’a aucun rapport avec l’agriculture bio même si on évoque la bio-source et que l’on emploie le terme « bio ».

Le terme plastique employé aujourd’hui désigne un polymère.

Il s’agit d’un assemblage de molécules constituant un matériau entièrement synthétique.

Le mot trouve son origine dans le terme latin plasticus lui-même tiré du grec plastikos.

Le Plastique et sa pollution persistent

Le seul intérêt du bio-plastique, c’est qu’il n’est pas issu du pétrole mais de la biomasse sans être obligatoirement biodégradable d’ailleurs.

En raison des prix bas du pétrole, le plastique ne coûte rien à produire.

Donc il est plus facile et moins cher de laisser le plastique dans la nature et d’en fabriquer du nouveau.

Il est plus coûteux de le collecter pour le recycler efficacement.

Le recyclage du plastique, certes utile, offre une solution imparfaite.

Pour les bouteilles par exemple, il en existe ainsi de deux types : transparentes en PET (Polyéthylène Téréphtalate) et opaques en PEHD (Polyéthylène Haute Densité).

Le PET des bouteilles d’eau minérale peut générer de l’antimoine qui est un métal potentiellement cancérigène et qui passe du contenant à l’eau ingérée.

De plus, le PET des barquettes se casse. Cela entraîne des pertes de l’ordre de 10 à 50% de la matière.

Ce PET gène le tamisage des broyats et complique le recyclage.

De plus, la présence de polystyrène (PS) gène les procédés de recyclage pour les bouteilles et les flacons.

On les considère non recyclables par manque de débouchés en France.

Le polystyrène est également incompatible avec d’autres résines.

Cela pose des problèmes pour le recyclage du polyéthylène haute densité (PEHD) et du polypropylène (PP).

Microplastiques et nanoplastiques

Bouteilles d’eau avec des Microplastiques

Recyclage du plastique

Osez refuser le plastique

Cancer du plastique

Codes et références des plastiques


C’est à la société suédoise Celloplast et son ingenieur Sten Gustaf Thulin que l’on doit le sac en polyéthylène monobloc, astuce de technologie, en 1965



Photo : pxhere.com


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